martes, 1 de junio de 2010

La Palestina

Esta canción resume todo lo que me pasa en relación a la cuestión palestina.
No puedo dejar de sentir una tristeza terrible cada vez que pasan estas cosas, sueño con ver un estado palestino antes del día en que me vaya de este mundo, sonará tremendista, pero no es mas que un anhelo de justicia, de reivindicación de la historia para con un pueblo.

Esta canción termina diciendo algo así como:

Lo que el niño quiere, es el mundo del mañana...con "La Palestina"




Hace casi 10 años que espero "La Palestina" desde que era niño...seguiré haciéndolo como el niño de esta canción.

1 comentario:

La Tana dijo...

Dejo las palabras de la canción...

Samuel, et Jonas,
ont quitté le pays.
Fatima et Marie,
ont sacrifié leur vie.
Parce qu'ils ont voulu,
s'en remettre à demain.
Dessiner l'avenir le brandir de leurs mains.

Continuez la mémoire héritée des ancêtres,
pour qu'on ne voit jamais sa terre... disparaître.
Cette terre... poussière... fortune du manant
la monnaie des colons,
la fierté de l'Orient.

Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit avoir ma peau !

Cette terre déserte,
qui baigna dans le sang.
Lorsque les Blancs entrèrent
au grès des quatre vents.
Cette terre défendue,
maintes et maintes fois reprise,
que nos pères ont tenue,
quand le monde lâchait prise.

[Refrain] :
Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit vouloir ma peau ! (inch Allah)
Si la vie m'a mis là,
c'est qu'elle doit avoir ma peau !

Quand les jets de nos pierres,
face aux canons des chars,
étaient murs de poussière
nous privant de victoire.
Un peuple délogé,
isolé de son sol,
qui voudra rattraper
l'histoire en son envol.

Ici, la vie, la mort, ont le même visage
Et l'avenir se dessine entre ruines et carnage.
Que les pages du Coran,
explosent de lumière.
Je vous implore, Allah,
ils ont volé ma terre.

[Refrain]

Je vous envoie l'espoir,
inondé de louanges.
Ils voient en vous démon,
je vous sais être un ange.
Nourri par les prophètes,
les plus impitoyables,
qui gravent sur nos cœur,
les cendres du diable.

Moi, qui n'ai que ma vie
à offrir en cadeau,
je ferai de mon âme,
le plus grand des oiseaux.
Pousser par le soleil,
(libérant l'horizon)
j'userai de ma vie,
comme l'un de leurs canons.

[Refrain]

Complainte de nos femmes,
espoir d'enfant martyrs,
qui jettent dans les flammes des lambeaux d'avenir.
Blessures... trop profondes,
pour être pansées,
comme un appel au monde
ou à la liberté.

Regarde de sa main
ce que l'enfant dessine x5
le monde de demain
avec la Palestine .

Si la vie m'a mis la c'est qu'elle doit avoir ma peau